L’Univers constitue une sorte de « laboratoire géant » qui permet aux physiciens d’étudier leurs théories à des échelles complètement inaccessibles sur Terre. En...
L’Antarctique fait rêver les aventurier.ères depuis des siècles. Sa couverture de glace (appelée calotte ou inlandsis) est épaisse de parfois plusieurs kilomètres et recouvre un continent de la taille du Canada et de l’Union européenne combinés. En plus, elle se situe à un endroit symbolique : à l’extrême Sud du globe terrestre. Par son climat inhospitalier, avec des températures glaciales et des tempêtes souvent violentes, l’Antarctique a résisté longtemps à l’« envahisseur » humain. Elle est donc restée une région peu peuplée (quelques stations scientifiques) et entourée d’un certain mystère. Et pourtant… ce qui s’y passe actuellement ne devrait pas nous laisser de glace…
Parmi toutes les planètes de l’Univers, la communauté scientifique estime que certaines sont co-orbitales. C’est-à-dire, sans entrer dans les détails, qu’elles partagent une même orbite autour de leur étoile. C’est en tout cas ce que l’on pensait jusqu’à ce que les télescopes au sol nous permettent de découvrir de nombreuses planètes hors du système solaire, sans jamais trouver la moindre paire de planètes co-orbitales. Aujourd’hui, après des milliers de découvertes, les planètes co-orbitales manquent toujours à l’appel, et j’explique dans cet article comment les marées peuvent être responsables de leur destruction, élucidant le mystère des planètes co-orbitales introuvables.
La Société Française de Physique a récemment soutenu la publication d'un livre documentaire sur le CERN, écrit par Gautier Depambour. Le livre permet de...
Voici un petit retour en images sur l'édition 2018 des Rencontres Jeunes Physicien.ne.s de Grenoble. Cette troisième édition des RJP grenobloises s'est déroulée le...